Il existe 216 SCPI gérées par 45 sociétés de gestion au 31 décembre 2023, la collecte nette totale est de 5,66 milliards d’euros pour l’année 2023.

 

Les 10 SCPI du classement représentent une collecte nette cumulée de 1,25 milliard d’euros soit 22,12% de la collecte nette totale pour l’année 2023.

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source : aspim.fr

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Estimation du taux de distribution net de toutes fiscalités pour un investisseur résident fiscal polynésien : taux par défaut pour l’impôt métropolitain de 20% à l’impôt sur le revenu + 17,2% pour les prélèvements sociaux, sans prise en compte des éventuels intérêts d’emprunt déductibles. Parts détenues en direct en usufruit ou en pleine-propriété.

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L'impact de la fiscalité métropolitaine pour les SCPI ayant des actifs en France peut être moindre en fonction de votre situation personnelle en cas d'application du taux moyen. 

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Le rendement n'est pas le seul critère à prendre en compte, d'autres éléments sont à considérer, notamment :  

- la stratégie de la société de gestion

- la diversification géographique et typologique de la SCPI

- votre situation personnelle

- la structure des frais de la SCPI 

- la liquidité de la SCPI (parts en attente de retrait ou non)

- la collecte de la SCPI 

- la qualité des actifs achetés par la SCPI

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La fiscalité sur les revenus pour les SCPI détenues en direct par des résidents fiscaux polynésiens :

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Les revenus fonciers de source étrangère à la Polynésie ne sont pas concernés par la CST (Contribution de solidarité territoriale). Seuls les traitements, salaires, pensions, rentes viagères et indemnités diverses sont concernés.

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La fiscalité sur les revenus des immeubles détenus par la SCPI hors de France est acquittée par la SCPI pour le compte des associés (à titre d’exemple, le taux en Allemagne est de 15,825%).

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Une SCPI qui serait investie totalement hors de France (Comète, Epargne Pierre Europe, Cœur d'Europe et Log In) verserait donc un revenu net de toute fiscalité et il n’y aurait donc pas de déclaration de revenus à effectuer en métropole.

 

Le sort des revenus fonciers de source française 

Les revenus fonciers français sont versés bruts de fiscalité et le traitement fiscal dépend de la situation du souscripteur.

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La France impose sur la partie nette de charge, il faut donc déduire les éventuels intérêts d’emprunt et les accessoires du prêt (frais de dossier, assurance emprunteur…).